Le monde de l’agroalimentaire, et donc de l’élevage industriel, est loin d’être un monde, il est facile de progresser. En effet, la concurrence y est rude et les moyens mis en place pour supplanter ses opposants directs sont souvent conséquents. Alors, lorsqu’un des géants de ce milieu parvient à obtenir des résultats record sur une année, cela attire invariablement l’attention. Cela est le cas de LDC, pour Lambert Dodard Chancereul, spécialisé dans la volaille, dans la transformation et la commercialisation de volaille. Mais aussi dans l’élaboration de plats cuisinés à base de viande.
Le succès du groupe LDC
Célèbre, notamment pour son élevage volaille industriel, le groupe agroalimentaire LDC possède de célèbres marques comme Le Gaulois, Maître CoQ, Marie, Traditions d’Asie, Poule et Toque ainsi que Nature et Respect. Tout une série de marques très célèbres et France et à la réputation solide. Mais ce même groupe agroalimentaire est devenu encore plus célèbre grâce à des résultats annuels records, présentés au Palais Brongniart, lieu où siège la Bourse de Paris. En effet, le groupe est parvenu à accomplir l’exploit de multiplier son chiffre par cinq. Un résultat pour le moins impressionnant, surtout dans un contexte de hausses de coût des matières premières. Une hausse qui n’épargne personne.
Il est donc très intéressant de se pencher plus en détail sur cette réussite et les raisons de cette dernière.
Les causes d’un succès
Selon le directeur financier Laurent Raimbault, l’ensemble de ces résultats s’expliquent à la fois par une augmentation des tarifs, mais aussi par le redémarrage de la restauration hors domicile. En effet, la crise de la Covid-19 a mis à mal le monde de la restauration, et nombreux sont les restaurants qui se sont retrouvés en difficultés économiques. La levée du confinement a eu un effet de pendule, poussant les gens à revenir en masse auprès des restaurants et autres sources de restauration extérieurs dont ils avaient été privés.
Bien sûr, on ne peut pas non plus nier l’importance de l’export et du commerce international pour expliquer de tels résultats. En effet, après avoir conquis la France, le groupe LDC se tourne toujours plus en direction des autres pays qui représentent une part de marché non négligeable. On peut notamment constater leur profond intérêt pour les autres pays européens.
Mais les ambitions du groupe ne s’arrêtent pas là, puisqu’il s’intéresse de plus en plus à la nourriture végétarienne, proposant ainsi une gamme de produits qui convient bien mieux aux végétariens. Ces produits alternatifs vont devenir une tout autre part de marché, sans pour autant abandonner les activités liées à la volaille, bien au contraire.
Si cette année 2021-2022 a été une réussite pour le groupe, on peut noter un seul domaine dans lequel la progression a été plus lente que les autres. En effet, l’activité autour des œufs n’est pas parvenue à répercuter les hausses des prix. Néanmoins, cette progression plus lente que les autres restes tout de même 12,7 %, une progression donc tout à fait honorable et pas énormément distancée par les autres secteurs de l’entreprise.
Le succes annuel du geant agroalimentaire LDC, specialiste de la volaille
Le monde de l’agroalimentaire, et donc de l’élevage industriel, est loin d’être un monde, il est facile de progresser. En effet, la concurrence y est rude et les moyens mis en place pour supplanter ses opposants directs sont souvent conséquents. Alors, lorsqu’un des géants de ce milieu parvient à obtenir des résultats record sur une année, cela attire invariablement l’attention. Cela est le cas de LDC, pour Lambert Dodard Chancereul, spécialisé dans la volaille, dans la transformation et la commercialisation de volaille. Mais aussi dans l’élaboration de plats cuisinés à base de viande.
Le succès du groupe LDC
Célèbre, notamment pour son élevage volaille industriel, le groupe agroalimentaire LDC possède de célèbres marques comme Le Gaulois, Maître CoQ, Marie, Traditions d’Asie, Poule et Toque ainsi que Nature et Respect. Tout une série de marques très célèbres et France et à la réputation solide. Mais ce même groupe agroalimentaire est devenu encore plus célèbre grâce à des résultats annuels records, présentés au Palais Brongniart, lieu où siège la Bourse de Paris. En effet, le groupe est parvenu à accomplir l’exploit de multiplier son chiffre par cinq. Un résultat pour le moins impressionnant, surtout dans un contexte de hausses de coût des matières premières. Une hausse qui n’épargne personne.
Il est donc très intéressant de se pencher plus en détail sur cette réussite et les raisons de cette dernière.
Les causes d’un succès
Selon le directeur financier Laurent Raimbault, l’ensemble de ces résultats s’expliquent à la fois par une augmentation des tarifs, mais aussi par le redémarrage de la restauration hors domicile. En effet, la crise de la Covid-19 a mis à mal le monde de la restauration, et nombreux sont les restaurants qui se sont retrouvés en difficultés économiques. La levée du confinement a eu un effet de pendule, poussant les gens à revenir en masse auprès des restaurants et autres sources de restauration extérieurs dont ils avaient été privés.
Bien sûr, on ne peut pas non plus nier l’importance de l’export et du commerce international pour expliquer de tels résultats. En effet, après avoir conquis la France, le groupe LDC se tourne toujours plus en direction des autres pays qui représentent une part de marché non négligeable. On peut notamment constater leur profond intérêt pour les autres pays européens.
Mais les ambitions du groupe ne s’arrêtent pas là, puisqu’il s’intéresse de plus en plus à la nourriture végétarienne, proposant ainsi une gamme de produits qui convient bien mieux aux végétariens. Ces produits alternatifs vont devenir une tout autre part de marché, sans pour autant abandonner les activités liées à la volaille, bien au contraire.
Si cette année 2021-2022 a été une réussite pour le groupe, on peut noter un seul domaine dans lequel la progression a été plus lente que les autres. En effet, l’activité autour des œufs n’est pas parvenue à répercuter les hausses des prix. Néanmoins, cette progression plus lente que les autres restes tout de même 12,7 %, une progression donc tout à fait honorable et pas énormément distancée par les autres secteurs de l’entreprise.